Particuliers Notre gamme immobilière



L’UFF s’est toujours attachée à faire évoluer son offre immobilière en fonction des attentes de ses clients et des évolutions de marché : fiscalité, mode de détention, mode de gestion... Elle propose aussi bien de l’immobilier direct que des Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI). 


L'immobilier direct


Un bien immobilier peut être détenu directement par tout investisseur et revêtir soit la forme de la location "nue" soit celle de la location "meublée".

 

La location « nue » se caractérise par l’achat d’un bien immobilier neuf ou ancien, loué « nu » (sans meuble). L’UFF sélectionne des programmes neufs ou anciens sur tout le territoire national (y compris les départements d’outre-mer) qui répondent aux critères de qualité d’emplacement et de demande locative.

 

La location « meublée », quant à elle, correspond à l’achat d’un bien immobilier neuf ou ancien, loué meublé et situé notamment dans une résidence de services (résidence étudiante, résidence sénior, voire résidence médicalisée). L’UFF propose une offre diversifiée qui respecte les deux règles incontournables :

- la réalité économique de l’exploitation,

- la solidité financière de l’exploitant avec lequel l’investisseur contractera un bail commercial.


Les SCPI


Les Sociétés Civiles de Placements Immobiliers (SCPI) permettent d'investir indirectement dans l’immobilier, qu'il soit résidentiel ou d'entreprise.


5 BONNES RAISONS D'INVESTIR DANS DES SCPI

 

Une diversification de son patrimoine : souscrire des parts de SCPI permet d'investir indirectement dans de nombreux immeubles détenus en France ou à l’étranger, en couvrant des secteurs immobiliers différents. On peut ainsi être propriétaire de plusieurs adresses de qualité et accéder au potentiel des marchés immobiliers de bureaux et de commerces, difficilement accessibles à un investisseur particulier.     

 

Des revenus réguliers et une mutualisation des risques : acquérir plusieurs biens immobiliers sous forme de parts gérées par une société de gestion permet de percevoir des revenus locatifs récurrents (généralement trimestriels sur les SCPI de rendement), tout en bénéficiant de la mutualisation du risque locatif partagé entre l’ensemble des associés.

 

Aucun souci de gestion : la gestion locative est confiée à une société spécialisée qui s’occupe de gérer le parc immobilier, de trouver des locataires et de reverser les revenus. Acquérir des parts de SCPI de logements ou de bureaux évite de s’acquitter directement des taxes afférentes telles que la taxe foncière par exemple, incombant à la SCPI, et répartie entre tous les associés. En résumé, en contrepartie de certains frais versés à la société de gestion, vous bénéficierez de tous les avantages de l’immobilier sans les inconvénients inhérents à la gestion locative directe. 

 

Des rendements et une fiscalité attractive : selon vos objectifs, vous pouvez privilégier la distribution de revenus grâce aux SCPI de rendement qui investissent sur les marchés de bureaux et/ou commerces. Dans le cadre de SCPI fiscales, vous pouvez privilégier la fiscalité par rapport aux revenus, et bénéficier ainsi sous certaines conditions, de réductions d’impôts ou de déductions fiscales.

 

Le montant de l'investissement : accessible dès 3 000 € (selon la SCPI), vous pourrez avoir accès au marché immobilier de logements ou de commerces/bureaux. En fonction de votre surface financière et votre capacité d’endettement, le financement de ce type de solution peut être envisagé comptant ou à crédit.

 

 

LES FRAIS

 

L’achat de parts de SCPI génère différents types de frais pour l’investisseur, à la fois au moment de la souscription, dans le cadre de la gestion et lors de la cession des parts de la SCPI. Les frais de souscriptions sont prélevés au moment où l’investisseur achète ses parts et sont calculés sur la valeur nominale des parts, ils sont intégrés au prix de souscription affiché par la Société de Gestion. Pour la gestion du patrimoine immobilier (gestion locative, acquisition et cession d’actifs, pilotage de travaux…), des frais sont également prélevés durant la vie de la SCPI et dépendent de chacun des actes réalisés. Lors de la cession des parts d’une SCPI à capital variable, aucun frais n’est imposé au client et la transaction s’effectue à la valeur de retrait (prix de souscription – frais de souscription). Dans le cas d’une SCPI à capital fixe, une commission de cession est perçue par la SCPI pour la mise en confrontation des offres d’achat et de vente, elle est généralement payée par l’acheteur.



COMME TOUT INVESTISSEMENT, LE PLACEMENT EN PARTS DE SCPI PRÉSENTE DES RISQUES

 

Les principaux risques sont les suivants :

 

Risque de perte en capital : le capital investi dans la SCPI ne bénéficie d’aucune garantie ni de protection, l’investisseur peut perdre tout, ou partie, du capital investi.

 

Risque de rendement : les revenus ne sont pas garantis. Les revenus potentiels de la SCPI ainsi que la valeur de retrait de la part peuvent varier à la hausse ou à la baisse en fonction de la conjoncture économique et immobilière (vacance locative ou travaux).

 

Risque de liquidité : l’investisseur n’a aucune garantie de pouvoir revendre ses parts. Les conditions de cession des parts (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution à la hausse comme à la baisse du marché immobilier et du marché de parts de SCPI. Le risque de liquidité est accru pour les SCPI fiscales et les SCPI acquises en nue-propriété pour lesquelles le marché secondaire d’acquisition est : 

  • quasi inexistant avant le terme du produit car remettrait en cause le bénéfice de l’avantage fiscal pour les SCPI fiscales ;
  • quasi inexistant pour les SCPI en nue-propriété.

 

Placement à long terme : la durée de conservation minimale recommandée est de 10 ans pour les SCPI de rendement et de 15 à 20 ans pour les SCPI fiscales.
 

Risques liés à l’endettement de la SCPI : en cas de baisse du marché immobilier, la SCPI peut être dans l’impossibilité de rembourser les emprunts souscrits.

 

Risques liés à l’endettement du souscripteur : le souscripteur ne doit pas se référer aux seuls revenus issus de la détention de parts de SCPI pour honorer ses échéances de prêt, compte tenu de leur caractère aléatoire. En cas de défaut de remboursement, l’associé peut être contraint de vendre ses parts et supporter un risque de perte en capital, voire de remboursement de différentiel entre le produit de cession des parts et le capital restant dû à l’établissement bancaire dans le cas d’une cession de parts à un prix décoté.


À l'UFF, nous proposons deux types de SCPI


LES SCPI FISCALES

Elles sont positionnées sur le marché du logement d’habitation et permettent, tout en percevant des revenus complémentaires, de bénéficier, sous conditions, de la fiscalité qui s’y rattache (Pinel, Malraux, Déficit foncier), à condition de conserver les parts pendant la durée minimale fixée.

 

LES SCPI DE RENDEMENT

Elles orientent leurs investissements principalement sur le marché de l’immobilier d’entreprise (bureaux, commerces, locaux d’activité…) en France et en Europe, ou sont orientées vers des thématiques spécifiques telles que la santé. Elles ont pour objectif essentiel d’optimiser le revenu locatif. Ces SCPI permettent aux investisseurs privés d'accéder à l’immobilier d’entreprise, habituellement réservé à des investisseurs professionnels.  

Quelle que soit la catégorie de SCPI, l’UFF sélectionne des produits compétitifs, en phase avec les besoins de notre clientèle patrimoniale.

 

 

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